Champs du Soleil
Les Champs du Soleil sont de vastes terres non peuplées qui s’étendent de Port de Hautes-Braises jusqu’au nord de Haut-Havre. Il s’agit avant tout d’une grande zone agricole permettant de nourrir tout le royaume. Une petite partie des Champs du Soleil, appelée Ruines du delta, est une zone sacrée pour le peuple haurien. Depuis l’arrivée au pouvoir de la famille Elentaris, ces terres sont sous leur responsabilité et leur protection.
Géographie
Des champs immenses
La majeure partie de ces terres sont des champs de végétation luxuriante, principalement des fleurs et des tournesols, du mimosa, du jasmin, des jonquilles et une multitudes d’autres végétaux de couleur jaune. La faune y est principalement volante à cause du manque de cachettes et de grottes.
Les champs sont la source principal de céréales du royaume. Des kilomètres de champs et de pâturages ont vu le jour dans les années qui ont suivi la construction du bourg de Haut-Havre. Ces zones se sont tant étendues vers le nord qu’il faut maintenant les traverser pour faire le trajet reliant Hauvent à Hauroy. D’immenses routes ont donc été construites afin de pouvoir y faire passer des voyageurs, des charrettes, voire même des armées.
On ne compte plus les paysans venant s’installer sur ces terres particulièrement fertiles qui font croître la diversité alimentaire de la ville et de ses environs. Les paturages de chevaux et de bétail, les champs de fleurs et de légumes, ainsi que les vergers sont légions et habillent le paysage de magnifiques couleurs toute l’année.
Les Ruines du delta
Une partie des Champs du Soleil, appelée Ruines du delta, a été le sujet de nombreux accords au sein de la nation haurienne. La zone, considérée comme sacrée, est interdite à la construction.
Principalement couverte de fleurs exotiques, cette zone n’est pas considérée comme appartenant au peuple haurien, mais à la Voyageuse. Il s’agit donc d’une des seules zones au monde à présenter des statues de la Voyageuse ou de sa sœur, Diane. Ce fait est insolite lorqu’on sait que peu d’artistes osent représenter la déesse de la Lune, de peur d’être victime de son courroux.
