Culte Naturel

De Anskylvia
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Présentation

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De mémoire d’être vivants, les elfes sont les premiers êtres à avoir foulé le continent de l’est, il y a de cela plusieurs centaines d’années. Ils s’installèrent où se situe désormais Hauroy, Kendall, Perle et Elissy, élaborant d’immenses royaumes en équilibre avec la nature ; des havres de paix ou tout un chacun pouvait coexister.

Les Humains cohabitèrent de longues années après leurs installations dans les édifices des elfes avant que leur soif insatiable de contrôle ne les pousse à chasser les habitants de leurs terres pour se les approprier. Les échanges devinrent rapidement belliqueux, et le Roy fou traça un trait définitif sur l’alliance. Dès lors, les elfes furent contraints à reculer dans le nord et à installer des défenses pour ne pas permettre leur extinction totale de leur ethnie et de leur savoir. L’architecture elfe resta longtemps sur place mais les cultes et pratiques migrèrent avec leurs fidèles, dans les grandes forêts du nord. De nos jours, le Culte elfique ne demeure principalement qu’au pic du continent de l’est, et peine à évoluer à l’ouest. C’est une religion prônant les bienfaits de la nature, l’équilibre et la compréhension des espèces. Elle est suivie par les Elfes et les apparaît également chez les Ondins, mais sous d’autres formes.

La Déesse Elfique

La Déesse de la Nature est une entité particulière dans le monde des Dieux. Elle n’est pas représentée par un être précis mais des symboles. En outre, la Déesse, appelée « Erui’Min» (Littéralement « Unir l’entité ») est partout dans chaque être vivant, ainsi que les Elfes et Ondins eux même. Ainsi, beaucoup de choses peuvent être considéré comme des signes de sa part, mais des symboles précis sont plus forts que d’autres.


  • La Pluie : La Pluie sont les larmes d’Erui’Min, mais il ne s’agit pas là d’un symbole de tristesse, bien au contraire. Les larmes de la déesse nourrissent les êtres vivants et les bénissent. La pluie est un signe de bonne récolte, de chance et de bonne grâce.

En revanche, la foudre a bel et bien un aspect négatif. En temps d’orage, on dit que le bruit de l’éclair est la matérialisation du cri de colère de la déesse.


  • Le Vent : Le vent, ou « Sûl » est un guide. Si un être ne sait ou se rendre, il doit se referrer au vent qui lui montrera toujours la bonne direction… mais pas forcément ce qu’il cherche. Beaucoup de croyants qui se sentent perdu à un stade de leur vie finissent par offrir leurs choix au vent. Ils parcourent ainsi le monde sous un nouvel angle et sous l’œil bienveillant de leur déesse.


Servants du Culte

Si le culte naturel et ses préceptes se transmettent plutôt de manière orale et font partie intégrante de la vie de ses pratiquants, des servants et représentants existent pour parfaire la transmission du culte et l’accomplissement des différents rites qui lui sont liés. Les responsables en charge de tout ceci sont nommés Eruithels, littéralement la volonté de la Déesse. Loin d’être pleinement organisés et hiérarchisés, ces servants du culte agissent seulement sous l’égide d’un représentant basé à Miträll, Mathellen, et jouissent donc d’une certaine liberté. La coupure entre les différents lieux de vie elfiques ainsi que les modes de vie divergents adoptés par ces derniers rendent la présence de tels individus très particulière.

Les camps de réfugiés basés à Sombrelune ou bien les elfes vivant à Miträll sont les plus prompts à faire appel aux Eruithels, plus accessible dans ces lieux. Les clans nomades eux, peinent à véritablement se reposer sur ces personnages, ne pouvant rejoindre les bois étroitement surveillés par les forces kendaliennes. Il est donc rare de voir des cérémonies importantes et nécessitant l’intervention d’un Eruithel se dérouler au sein des clans. Quelques rares clans possédant en leur sein un servant de la Déesse font toutefois office de relais et permettent aux autres nomades de pratiquer les rites auprès de ce dernier.

Panthéon des Titans Naturels

Parmi la Faune et la Flore existe ce qu’appellent les Elfes, les Elfes Sylvestres et les Ondins des « Titans Naturels ». Il s’agit d’Etres choisis par la Déesse et qui se sont vu insuffler assez de magie pour évoluer. Leur rôle devint alors primordial au sein de leur espèce et il est de leur devoir de protéger les leurs et de les guider vers la bonne voie.

Grace à la magie, les Titans gagnent en force et en intelligence. Leurs capacités sont alors démultipliées et ils trouvent l’usage de la parole et même parfois certains pouvoirs.

D’ailleurs, les Dragons sont considérés par les membres du Culte comme des Champions de la Déesse de la Nature, cette dernière leur ayant offert leurs pouvoirs il y a des centaines d’années. D’où leur puissance phénoménale et leurs capacités intellectuelles hors du commun.

Voici quelques exemples des Titans Naturels les plus connus :

Âr Brôg – Le Dernier Rempart

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Âr Brôg signifie « Roy Ours » en langage elfique et désigne le Titan Naturel de la défense de la forêt. Ce Titan a pour mission d’éloigner le malin des forêts et de faire fuir les êtres coupables de déforestation ou de maltraitance de la faune et de la flore en général. Il s’agit d’un Ours gigantesque, couvert d’écorce et de bois en guise d’armure. Il roderait principalement sur les frontières elfiques, accompagné de ses plus fidèles disciples. Il est souvent arrivé que des Hommes le croisent et l’affrontent durant ces dernières années à cause de l’abondance de la traque et de l’esclavage des elfes, ce qui lui a valu le titre de « Dernier rempart » chez ses adversaires. Même du côté de l’ennemi, c’est une créature respectée pour sa force et son courage.

Âr Brôg est une inspiration chez les combattants elfes, autant pour sa force que son calme à toute épreuve. Bien que la créature soit un Titan, il est incroyablement doux avec les enfants et il arrive même qu’il passe son temps à jouer avec les plus jeunes elfes, leur enseignant au passage les rudiments du combat. Nombre de bambins reviennent triomphant auprès de leurs parents en annonçant qu’ils ont vaincu le grand Roy Ours, bien qu’à chaque fois, le grand seigneur ait gentiment feinté sa défaite.

Néanmoins, de véritables combats sont menés avec des adultes qui défient le colosse pour prouver leur force. Peu y parviennent, mais chaque combat est à marquer d’une pierre dans la vie des elfes, et vaut plus que n’importe quel autre enseignement.

Nost Ëar - Le Refuge de l'Ocean

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Nost Ëar signifie en elfique « Le Maison de l’Ocean ». Il s’agit d’une tortue géante assez particulière, car un hameau a été bâtit sur sa carapace. Il s’agit d’un sanctuaire très précieux appartenant aux Ondins comme aux Elfes, voyageant autour du continent de l’est et dont sa position n’est connue que par les prêtres et prêtresses du Culte Naturel. Nost Ëar ne vit que pour protéger les Ondins du massacre qui anéantit peu à peu leur espèce. Il guide les blessés en son sein et effraie les moins courageux qui voudraient faire du mal à ses fidèles. Néanmoins, le Titan de l’océan n’est pas un combattant et ne s’implique dans aucun conflit de façon directe. En cas de danger, il est capable de se dissimuler en invoquant la brume ou en plongeant dans les profondeurs de l’océan.

Il est arrivé que des voyageurs s’agitent en voyant la brume se lever autour d’eux sans aucune raison, pensant à une attaque ou à un mauvais présage, sans savoir en réalité qu’un Titan s’est contenté de passer près d’eux sans vouloir être dérangé.

Il s’agit d’une créature pacifique et sage, adorée par les Ondins. Les plus faibles ou ceux qui ont perdus leur chemin peuvent profiter de son sein pour reprendre des forces, avant de regagner leur foyer. Les plus âgés, eux, rejoignent le Titan en sentant leur heure arriver pour s’éteindre à ses côtés. Nost Ëar les dévore alors à leur mort afin que leur âme reste éternellement en son sein, pour guider à leur tour les égarés.

Rach Mîr - Le Trésor Maudit

La malédiction du Lyshen est sans doute la croyance la plus mystique du Culte Elfique et des Elfes en général. Le Lyshen est une créature millénaire dont personne ne connait la provenance. C’est un monstre vivant dans les grandes forêts et qui n’apparaît pas seulement dans la culture elfique. On retrouve des traces de cette bête dans les livres d’Hommes et même d’Anskylviens. Sa légende est si répandue qu’elle alimente sans cesse les contes pour enfants et les récits d’aventuriers, bien que très peu d'étrangers ne croient réellement à l’existence d’une telle monstruosité.

Dans la culture elfique, le Lyshen est l’ennemi mortel de la Déesse de la Nature et ne vit que pour anéantir toute trace de vie sur terre. C’est une entité démoniaque qui se repaît de la vie elle-même, si bien que sur son sillage, tout meurt et disparait en cendres.
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Le Lyshen est décrit comme un humanoïde gigantesque au corps rachitique et recouvert de toile sombre. Certains disent même que ces toiles proviennent de la peau de ses adversaires écorchés. Ce monstre posséderait d’immense griffes et enfin, un crâne de vache sur le visage, si bien que personne ne connaîtrait son véritable faciès.

La malédiction du Lyshen est une croyance très prise au sérieux au sein des elfes. L’entité même du Lyshen est très respectée afin de ne pas attirer son courroux. Il est interdit de prononcer son nom consciemment, car cela revient à l’appeler. Il est également interdit de le représenter de quelques façons qui soient ou de le décrire à des étrangers. Seule persiste sa malédiction.

La malédiction du Lyshen est une sentence de mort. A chaque moment de la journée, à chaque heure ou chaque seconde, le Lyshen parcoure le monde à la recherche de celui qui posséderait la marque. Il s’agit d’un Diamant Noir à la forme triangulaire, qui circulerait de propriétaire en propriétaire. Dès lors que cet objet fût possédé, ses propriétaires moururent dans d’étranges accidents les uns après les autres jusqu’à tomber dans les mains des Elfes. Ces derniers, conscient de qu’il se passait, enfermèrent le Diamant Noir dans un coffret et le cachèrent aux yeux du monde. On dit que seul le Diamant noir attirerait le Lyshen, et avec le développement de la mine, beaucoup de ces pierres s’incrustèrent dans le marché. Beaucoup d’elfes seraient donc à la recherche de ces pierres pour éviter de nombreux massacres inutiles. D’autre s’en servent pour punir ceux qui leur cause du tort ou les criminels de leur peuple… bien que les prêtresses du Culte elles-mêmes, n’adhèrent pas vraiment à cette méthode jugée barbare et maléfique.

Pendrath - Cerf du Passage

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On raconte que l’un des Titans naturels du Culte elfique réside au sein de SombreLune et protège les opprimés. Il s’agirait d’un cerf géant appelé « Pendrath » ou « Cerf du Passage » en commun. La réalité serait altérée autour de lui, transformant le décor en enfer perturbant pour les personnes hostiles ou en paradis fleuris pour les amis de la forêt. Certains humains conteraient même que Pendrath serait la monture de Maeiv Ar’Acharn et que cette dernière aurait domestiqué cette figure divine, apparaissant comme une liche démoniaque à qui aurait le malheur de croise sa route.

Cultes et Pratiques chez les elfes

Le passage

A la mort d'un elfe, tous ses biens partent avec lui. Le concept de testament chez les elfes n’existe tout simplement pas. On enterre le cadavre dans la terre avec ses armes, possessions, argent etc. Afin qu'il ne manque de rien dans l'autre monde. S'il avait des animaux de compagnie, ils seront enterrés à leur mort au même endroit pour ne pas se tromper de chemin et retrouver leur maître. Les proches choisissent de s'enterrer au plus près de ceux avec qui ils veulent partager leur vie dans l'au-delà. Les tombes, d’ailleurs, n’ont pas de zones de regroupement comme les cimetières. Chaque famille est enterrée sous l’arbre dans lequel il a vécu le plus longtemps. Si l’elfe en question a vécu dans une maison (ou dans une zone d’eau pour les Ondine) il sera enterré au plus près.

L’échange

La nature provient de la Déesse et chaque animal ou plante est un don de cette dernière aux elfes. Il est de coutume, donc, de remercier la Déesse à chaque récolte ou chasse fructueuse. C’est ainsi qu’est née le Principe de l’Echange, geste qui n’est pas nommé par les elfes mais appelé ainsi par ceux extérieurs au Culte. Un elfe qui récupère la carcasse d’une bête après l’avoir tué ou qui cueille un fruit, ira toujours planter une graine à l’emplacement de sa mort en temps qu’offrande à la Déesse mère. La progéniture de la graine n’a pas beaucoup d’importance, ce qui compte, c’est de créer la vie en retour du gain.

L’Équilibre

Plus qu’un rite, l’Équilibre est une notion presque à part entière pour les elfes qui suivent les us et coutumes de leur peuple. Pour eux, la nature doit pouvoir s’épanouir et vivre sans crainte et à l’inverse, elle doit aussi rester mesurée et ne pas proliférer sans retenue. Il s’agit de respecter la balance du monde et de ne jamais la briser. Si un tel principe semble grand sur le papier, il se traduit par des gestes plus ou moins quotidiens comme par exemple :

- Ne jamais s’emparer totalement des fruits d’une récolte ou de prendre l’entièreté des produits qu’à la Déesse à leur offrir. Chacun doit se servir modérément pour profiter des dons d’Erui’Min en permettant à la nature de continuer à s’épanouir.

- Ne pas chasser un animal pour le simple sport ou le plaisir mais bien pour s’alimenter et en faisant en sorte d’honorer la mort de l’animal avant de le consommer et en essayant de limiter au maximum les pertes.

Un tel principe voit évidemment son application déborder sur bien des domaines, surtout dans un climat de conflit perpétuel où la Ligue du Crépuscule et les forces Kendaliennes ne semblent pas vouloir céder, d’un côté comme de l’autre. Certains voient alors d’un bon oeil les actions de Maeiv Ar’Acharn qui tente de rétablir l’équilibre entre les Hommes et les Elfes, même si le prix à payer semble lourd et l’issue incertaine, tandis que d’autres considèrent ces actions comme immorales au vu de la faible population elfique et de toutes les vies mises en jeu pour une guerre qui pourrait leur coûter encore plus cher.

Le mariage

Pour deux elfes qui souhaitent s’unir, le mariage revêt une importance bien particulière. La Déesse vit en chacun d’eux et l’union devient alors un nouveau moyen de lui rendre hommage et de se lier sous ses yeux. Sous la tutelle d’un Eruithel, les deux époux vont le plus souvent se réunir sous un arbre réservé pour cette occasion et qui sert pour de nombreux mariages (la plupart du temps un arbre centaine voir millénaire, doté d’imposantes ramures). Au préalable, les futurs mariés devront aussi avoir choisi un Andaithe à partager. On le nomme alors l’Andaithe Gwaedh (la marque du lien). Généralement discret et petit, ce tatouage symbolise l’union entre les deux mariés et est réalisé au pied même de cet arbre pendant la cérémonie. Il peut prendre autant de formes qu’il y a de couples, même si ces derniers choisissent souvent de faire représenter quelque chose qui les unit et qui les rapproche (de manière plus ou moins abstraite).

Une fois le tatouage réalisé et l’encre encore fraîche sous la peau, les conjoints se jurent fidélité et l’Eruithel se charge alors de cercler les poignets des mariés d’une petit ruban tressé, scellant ainsi leur union. Un troisième ruban est gardé de côté et attaché à l’une des branches encore vierge de l’arbre sous lequel s’est tenue la cérémonie. Le ruban vient donc se mêler aux autres déjà accrochés aux branches de l’arbre lors des précédents mariages, mosaïque de couleur rappelant à chacun l’unité elfique qui vibre à travers chaque individu, tout comme la Déesse existe à travers eux.

Cette cérémonie est généralement ouverte à tous ceux qui souhaiteraient y assister et transmettre leurs félicitations aux jeunes mariés mais il arrive que certains désirent s’unir de manière plus discrète (si le mariage n’est pas bien vu par leurs proches par exemple). De même, l’union d’un elfe avec une personne d’une autre ethnie, voir même un demi-elfe, n’est généralement pas bien vue et le mariage systématiquement refusé par les Eruithels, contraignant l’elfe concerné à s’unir sous les us et coutumes de son conjoint plutôt que des siens (ce qui le pousse à quitter son refuge ou à se résoudre à délaisser son compagnon).

La Première Chasse

Lorsqu’il est encore adolescent, il est courant pour les elfes d’aller pratiquer ce qu’ils nomment la Première Chasse. Accompagnés d’un chasseur, ils vont pister et traquer un animal. Au delà de leur apprendre à se débrouiller sur le terrain et de se familiariser avec la nature, c’est aussi l’occasion pour les jeunes elfes de mettre en pratique l’un des plus grands principes du Culte Naturel : l’Équilibre. Une fois l’animal trouvé et blessé, l’elfe récite une courte prière à l’attention de la Déesse, présente dans chaque chose vivante puis met un terme aux souffrances de l’animal. Le but de cette chasse est de faire comprendre au concerné que la nature offre de quoi vivre et prospérer mais qu’il est nécessaire de faire en sorte de la préserver et de n’en prélever que le nécessaire pour qu’elle puisse continuer de protéger les elfes. Il est alors coutume de planter une graine à l’endroit où l’animal est mort, afin de respecter le principe de l’Échange.


Cultes et Pratiques chez les Ondins

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Principaux lieux de culte

Toss Nothrim : l'Arbre Maison

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L’arbre maison, aussi appelé Toss Nothrim par les elfes, est un chêne millénaire qui aurait été planté par la Déesse elle-même à la création de ce continent. Il s’agit d’une espèce d’arbre unique de Vilàgfa, qui a la particularité d’être immortel et de se nourrir de magie. Son tronc, ainsi que ses racines ou encore ses branches, continuerons de pousser éternellement tant que l’espace le leur permettra. Actuellement, l’arbre oscille entre les 800 et 900 mètres de haut et ferait 20.000 mètres cube de volume à vue de nez.

Ses racines forment à elle seules des habitations au sol tandis qu’une grande partie de la population se nichent dans son écorce, creuse par endroits. Beaucoup de chamanes ou de naturalistes pensent que l’arbre est relié aux autres consciemment et régit la forêt par sa volonté. Il guide tous les êtres vivants qui l’entourent et s’occupe de la régulation de la nature et de la magie. C’est aussi pourquoi l’arbre semble réagir quand les éléments sont perturbés. Lors du massacre du Roy fou au premier millénaire, on dit que l’arbre serait resté sans feuilles pendant une génération entière avant de retrouver sa ramure. On appelle cette période la Saison des Larmes ou « I Rhîw O Nïrnaeth » en elfique.

L’arbre sert donc de refuge pour une partie de la population mais habite aussi des temples sur les plus hautes branches et les parties plates de la cime. Sans compter les centaines d’autels, il existe à ce jour trois temples.

Crédits et Sources

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