Plaines du conflit

De Anskylvia
Aller à : navigation, rechercher


Les plaines du conflit sont les plaines les plus vastes du continent de l’Ouest. Elles sont scindées en quatre morceaux distincts par deux fleuves et une rivière, du nord vers le sud : La Givrante, Lazuli, et Grancourant.

Les trois lignes d’eau ont la particularité d’appartenir à trois nations différentes, respectivement Anskylvienne, Citemaréenne et Haurienne. C’est de là que vient le nom même des plaines.

En plus d’abriter des sources hétéroclites, les trois puissances se sont affrontées à divers moments de l’histoires sur ces terres planes.

Il arrive encore aujourd’hui que des explorateurs sillonnent le terrain à la recherche de reliques oubliées, d’armes anciennes ou de richesses.


La Compagnie de la charrue

Groupe de bandit de grand chemin, sévissant sur les routes entre les fleuves du Grandcourant et du Lazuli en plein coeur des Plaines du Conflit, la compagnie de la charrue s’est créée un semblant de réputation auprès des villes de Cypselos et de Haut-Fleuve.

Apparue dans la région en l’an 1405 voilà bientôt quinze année que leur méfait restent impunies. Le drôle de nom donné à leur compagnie provient de leur façon inhabituelle de procéder. S’attaquant principalement aux caravanes marchandes mais jamais aux fermiers et aux habitants locaux il est dit qu’ils encerclent les passants un peu trop aisés, les mettent en joue avec une dizaine d’archer puis font sortir des fourrés une vieille charrue traînée par un buffle atypique probablement originaire des steppes gelées Anskylvienne. Tout leur butin est alors mis sur la charrette laissant les marchands sur la paille attaché à un arbre, ce qui laisse le soin aux prochains passant de détacher les malheureux.

Sixmorevodka-studio-war-chefs.jpg


Malgré leur efficacité maintenant reconnue et redoutée des voyageurs un peu trop riche la compagnie n’est pas un groupe de meurtriers. Peu de gens sont morts en écumants ces routes et il est même dit qu’en dehors de leur larcins ces bandits s'assure que personne ne s’attaque aux population locales délaissé de la protection des grandes villes. Quelques bardes de bas étages chante même parfois les louanges de ce groupe de bandit au grand coeur ce qui n’a de cesse d’agacer les compagnie marchandes peinant à faire profit de ces routes sans dépenser fortune en mercenaires.

Cela dit, et malgré leur exploits, la compagnie est loin d’être en mesure de faire face aux trop gros convois en provenance de Hauroy à cause des Hippogriffes devant lesquels ils sont bien impuissant. Ils se contentent dans ces rares cas de disparaître dans les forêt avoisinante sans laisser trace de leur venu.

Dans les fait on estime à une cinquantaine ces bandits, dispatché un peu partout dans les plaines, sinon l’imposant buffle traînant leur butin aucune information concrète n’a pu être tirée des nombreuses victimes de ce groupe atypique. De plus aucun des habitants de cette région ne semble à même de pouvoir, ou vouloir, trop en dire sur ces brigands.

Etant donné que la grande partie du commerce du continent passe par voie fluviale et par la mer cela laisse les routes sans grande protection on peut donc encore estimer que la Compagnie de la Charrue pourra exacerbé les marchands encore longtemps.