Haucourant/CitéLitor
Histoire
Selon les traditions locales, la ville a été fondée par un capitaine Haurien, nommé Illigo Dassicio, lorsque son navire s'est écrasé en essayant de manœuvrer pour remonter le Grancourant, aux alentours de l'an 1000. L'ancre qui marque encore l'entrée du port de CitéLitor proviendrait de l'épave de son navire.
L'endroit est alors nommé Haucourant. La colonie n'a alors pas grand-chose pour se distinguer, mais elle est néanmoins la cible de raids de pirates de temps à autre. Les raids était alors encouragés par une rumeur persistante selon laquelle le capitaine Dassicio aurait caché un trésor précieux dans la ville, mais personne n'en a jamais trouvé la moindre trace.
Elle prospère en parallèle de Citemare, sa nouvelle voisine de l'époque, avec qui le commerce est fructueux et régulier. L'influence de Citemare appuie de plus en plus sur Haut-Courant, surtout du fait que la guilde des Mercantis peut via la ville Haurienne, utilisé les contacts qui leur restent dans le pays du sud.
En 1153, profitant de l'instabilité de la couronne Haurienne, Citemare appuis des revendications sur Haut-Courant. En effet, il n'est plus rare depuis plusieurs années déjà, de voir des Protecteurs assurer la protection de la ville aux côtés des Gardes de la famille Dassicio, et l'influence économique et culturels de la ville n'est plus a prouvé non plus.
Après le couronnement encore frais de Fabrizio Imbleval, il est négocié que la ville serait dorénavant sous juridiction CiteMaréenne. La nouvelle n'est pas un choc pour le peuple, qui s'habitue rapidement à leur nouvelle citoyenneté.
Pour la famille Dassicio, c'est une catastrophe. Loin de la cour du Roi pour plaider leur cause, il se retrouve dépossédé du seul titre que possédait leur famille. Qui plus est, les Dassicio avaient toujours eu d'excellente relation avec les Citemaréens, spécialement avec les Mercantis, et se retrouvent à devoir accepter la nouvelle ou quitter leur terre.
La ville est désormais dirigée directement depuis Citemare, où les dirigeants des Guildes siègent. La famille noble, déchue et trahit, n'en restent pas là : promettant les richesses de la ville a qui l'aiderait, elle réussit à rallier des familles mineurs pour reconquérir leur bien familial.
Les attentats, assassinat et autres tentatives de prises de pouvoir ne sont plus à compter, la dernière en date de 1401, où des forces lourdement armées avaient réussi à prendre le fortin de Klémanss non loin de la source du Cyan. Ils avaient retenu en otages des dignitaires Mercantis et quelques Maîtresses Tissetoiles dans l'espoir de faire valoir les Droits des Dassicio sur la ville.
La situation s'était finie dans un bain de sang où rançonneurs comme otages avaient perdu la vie lors de la reprise du fort. La famille Imbleval c'est toujours déresponsabiliser des exactions, assurant aux dirigeants des Guildes le soutien du Royaume. Dans les faits, la couronne n'a jamais pris de mesures drastiques pour empêcher les rebelles d'agir.
Aujourd’hui l’une des villes les plus prospères du continent de l’Est, elle est aussi très surveiller par le conseil des Guildes.
Economie
La finesse du de ses artisans, l’abondance de nourriture et de travail, son positionnement idéal à l'embouchure de GranCourant sans être éloignés des monts Griffus. La ville jouit d’un contexte parfait pour ne manquer de rien. Ajouter à cela la méfiance des Protecteurs et la peur d’un conflits avec des forces rebelles qui se refusent à blesser la population : Il est clair que CiteLitor a de quoi être jalousé par toutes les grandes villes du monde.
La ville n’a jamais connu de disette ou de pénurie de quoi que ce soit, il y a du travail pour tous et les navires marchands viennent de tous les continents pour commercer ici.
La région est connu aussi pour avoir des parfumeries et autres produits cosmétiques inédit dans beaucoup d’autres parties du monde. Les dames du monde se les arraches, pour le plus grand plaisir de leurs maris !
Culture
Ville bâtarde de deux sphère culturels assez opposé, les traditions et façon de faire changent énormément en fonction du milieu social. Si l’on applique des Loi fondamentalement CiteMaréenne, on remarque tout de même l’anomalie de l’autorisation et de la réglementation très Haurienne des Duels. Véritable façon de vivre de la petite bourgeoisie (qui boit du champagne !), cette coutume meurtrière n’a jamais voulu disparaître et est toujours pratiqué lors de conflits ne pouvant être réglé au tribunal.
A l’image de Citemare, moults religion sont pratiqués dans la ville, dans une tolérance total.
