Terres sacrées

De Anskylvia
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Les Terres Sacrées est le nom d’un territoire inexploité et en partie inexploré, au Nord d’Anskylvia. Les limites de ces terres sont différentes pour chaque peuple ou nation car on peine à définir les frontières de ce monde glacé. Terres Sacrées, Furäk, Fôr’Faelug… moult noms pour moult aventures… qui se soldent bien souvent dans la glace et la mort.


Bordées la plupart du temps par d’épaisses montagnes, les Terres du Nord ne sont accessibles que par des passages souterrains, des chemins dans les monts ou des marches tortureuses à haute altitude.

La Porte des Ossements

Au bout de l'Échine du Dragon, se trouve le passage le plus connu des Anskylviens : La Porte des Ossements, ou “Sarkan Deus”. Depuis la Bénédiction de Deus Homines, un squelette de dragon réside au dessus d’une cavité gigantesque, creusée par un tremblement de terre qui du ébranler le monde tant la fissure s’étend à perte de vue.

Beaucoup d’Anskylviens n’osent, ne serait-ce que s’approcher de l’entrée tant le cadavre du monstre qui la garde a été bien conservé par le froid. Attachés par le gel, chaque os du dragon est soudé à son prochain, formant un corps terrifiant à la gueule ouverte, qui semble défier les plus aventureux de passer le col.

Le clan Ibjorn garde un œil sur tous les aventuriers qui traversent leur village pour rejoindre cette brèche. Ils prennent note les arrivés et les retours et mettent en garde chaque voyageur des dangers qui les attendent. Quand il s’agit d’Hommes, d’Elfes ou encore de Shéons, les Chamanes d’Ibjorn leur interdisent simplement l’accès, sous peine de devoir affronter les leurs.

L’Océan de Cristal

Second passage Anskylvien, beaucoup moins connus de ces derniers… l’Océan de Cristal ou “Ivoraear”. Son nom elfique lui a été offert par les Falsk’Rub, seul village à avoir découvert ce chemin au travers de la mer sans fin.

Quand l’Hiver est à sa pleine puissance, la mer gèle jusqu’aux frontières des Terres Sacrées et permet un passage. La traversé prend des jours entiers, à combattre les tempêtes, les monstres et les dangers qu’offrent un désert de glace. On raconte qu’il s’agit d’un terrain de chasse de prédilection pour les dragons, qui ne peuvent manquer leurs proies dans une toundra où rien ne permet de se cacher. A contrario, on découvre aussi un véritable cimetière de ces bêtes majestueuses, jonchant les côtes, jusqu’aux steppes les plus inaccessibles. Loin d’avoir de prédateurs, on suppose que des dragons sont simplement mort de vieillesse et offrent en spectacle leurs cadavres gigantesques, qui font souvent office d’abris pour les aventuriers.

Les faibles écrits qui content les périples d’ Eurydice, la fille des Esprits, indiquent que c’est par cette voie qu’elle serait arrivée jusqu’à Furâk, continent ou archipel (Les traductions sont inexactes) qui aurait émergé à l’ère des Dieux et où réside moult richesses.


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Même dans l’au-delà, quand ils ne sont plus qu’ossements et glaces, les dragons protègent leurs fidèles qui osent s’aventurer dans leur territoire.




Crédits

  • Image 1 : dragonblight_by_fainernil