Klaus Onfray
Identité
Prénom : Klaus
Nom : Onfray
Age : Environ 25 ans
Métier : Garde Royale
Taille : 1 mètre 75
Corpulence : Sèche et musclée
Traits physiques
Klaus est une jeune femme taillée pour le combat. Travaillée et retravaillée en ce but comme une statue d’argile, elle obtiendra sa forme finale très rapidement vers ses douze ans où les entraînements furent quotidiens. Ainsi, elle possède une musculature sèche et un corps solide, mais pas dénué de cicatrices. A cause d’un accident malheureux, des balafres immondes inondent le côté gauche de son visage, entourant son œil et brisant ses lèvres. Il est difficile de lui trouver quelque chose d’attirant, car même sans ces marques, la demoiselle possède le nez de faucon de son père et le visage creusé de sa mère. Des cernes nichent sous ses yeux d’un vert forêt et ses rides de fatigue ne sont que renforcées par les ombres de ses mèches volages jetées sur sa trogne. Sa tignasse oscille entre le blé et l’ivoire, comme déteinte. Ils sont coupés de façon brouillonne et parfois attachés en chignon dans sa nuque.
Enfin, la démarche de la demoiselle est lente, appuyée, le regard baigné d’ennuis. Sa voix est profonde, plus grave que la moyenne.
Au premier regard
Habitudes et manies
Klaus semble s’offrir corps et âme au service de la garde de Glaceporte. Toujours droite, ne montrant jamais sa fatigue, sa faim ou ses états d’esprit, elle s’applique à servir et à obéir. La demoiselle a la drôle d’habitude de saluer à la mode militaire et use constamment du dialecte de la guerre, même hors service. Elle garde ses pensées pour elle, quoi que quelques remarques, rares, fusent parfois dans des sifflements mauvais.
La mercenaire a la mauvaise habitude de se griffer le cou nerveusement ou la joue. Ce tic irrite sa peau et lui laisse quelques plaies profondes.
Une longue cicatrice coule sur la joue de Klaus de l’oreille gauche à l’œil. Une seconde trace une ligne de sa mâchoire à sa lèvre juste en dessous. Il semble que ce soit un coup de lame vu la précision de la plaie.
De longues cernes demeurent sous les prunelles mornes de la demoiselle. Même alerte, son regard reste figé sous un voile de fatigue… fictif ou non.