Bois Blancs : Différence entre versions
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| − | + | Les Bois Blancs ont obtenu leur nom grâce à la forte majorité de bouleaux présents dans la zone. À la découverte de l’endroit, il ne s’agissait que d’une immense plaine vierge, parsemée de maigre végétation. Quand les Humains ont pris le contrôle de la capitale, ces derniers ont créé une pépinière gigantesque en ces lieux, pour faciliter le transport du bois et l’accessibilité à ces ressources primaires. | |
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| − | Au fur et à mesure des générations, un véritable bois | + | Au fur et à mesure des générations, un véritable bois a pris vie : une myriade de chemins a été tracée entre les arbres, et l’entièreté de l’endroit à été construit de mains d’Hommes. Il est néanmoins impossible de se perdre dans les Bois Blancs et une drôle de sensation occupe les voyageurs qui les traverse. Elle semble parfaite, immatérielle… factice. |
Devant cette abomination de la nature, les elfes ont affublé le bois d’un tout nouveau titre : « Eryn’Fern » ou « Le bois mort ». | Devant cette abomination de la nature, les elfes ont affublé le bois d’un tout nouveau titre : « Eryn’Fern » ou « Le bois mort ». | ||
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Version actuelle datée du 3 avril 2020 à 13:27
Les Bois Blancs ont obtenu leur nom grâce à la forte majorité de bouleaux présents dans la zone. À la découverte de l’endroit, il ne s’agissait que d’une immense plaine vierge, parsemée de maigre végétation. Quand les Humains ont pris le contrôle de la capitale, ces derniers ont créé une pépinière gigantesque en ces lieux, pour faciliter le transport du bois et l’accessibilité à ces ressources primaires.
Au fur et à mesure des générations, un véritable bois a pris vie : une myriade de chemins a été tracée entre les arbres, et l’entièreté de l’endroit à été construit de mains d’Hommes. Il est néanmoins impossible de se perdre dans les Bois Blancs et une drôle de sensation occupe les voyageurs qui les traverse. Elle semble parfaite, immatérielle… factice.
Devant cette abomination de la nature, les elfes ont affublé le bois d’un tout nouveau titre : « Eryn’Fern » ou « Le bois mort ».
